🦡 Prix Des Fruits Et Légumes En Algérie
Lesprix des fruits et légumes sont montés en flèche ces derniers jours, le prix de la pomme de terre, aliment de base chez les algériens a atteint les 100 dinars, les oignons 50 dinars alors que la tomate est cédée à 60 dinars. Les petits ppois pourtant légume se saison a atteint 150 dinars te les artichauts se vendent à 50 dinars. Pendant ce temps là les
Informationssur la situation des droits humains en Algérie. Société; Fruits et légumes: Les prix en baisse. by AW · mai 26, 2017. Fruits et légumes: Les prix en baisse . par Yazid Alilat, Le Quotidien d’Oran, 25 mai 2017. Dans les deux prochaines années, les huit marchés de gros régionaux réalisés par l’entreprise Magro seront opérationnels pour ventiler
SCÉNARIOSDE COMMERCE INTERNATIONAL ET DE PRIX 6.1 Oignon 6.2 Pomme de terre 6.3 Tomate 6.4 Ail 6.5 Chou-fleur 6.6 Des haricots 6.7 Aubergine 6.8 Citron 6.9 Pommes 6.10 banane 6.11 Raisins 6.12 fraise 6.13 Pastèque 6.14 Rendez-vous 6.15 Olives 7. ANALYSE RÉGIONALE 7.1 Analyse PILON 7.2 Analyse de la chaîne de valeur 7.3 Politiques
Entermes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont enregistré, selon l’ONS, une hausse de 3,7%, dont les prix des produits agricoles frais, qui ont augmenté de 6,4%. Globalement et durant le mois de mai dernier, il y a eu des hausses assez remarquables pour les légumes (+15,1%), les fruits
Lemarché des fruits et légumes en Algérie peu mûr. lundi 25 août 2008, par Rédaction. Les prix des fruits et légumes s’annoncent chers pendant le ramadhan en Algérie ce qui confirme encore une fois la fragilité de l’agriculture algérienne. Les prix des fruits et légumes vont connaître une hausse sensible en Algérie au cours
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Leprix moyen des produits agricoles, fruits et légumes, en Algérie Comme susmentionné, une forte baisse au niveau des prix des fruits et légumes de saisona été enregistrée sur le marché algérien.
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qoycpnq. Les prix de certains produits de consommation se maintiennent à des niveaux élevés, ce qui met à rude épreuve le pouvoir d’achat des Algériens. La filière avicole ainsi que celle des fruits et légumes sont plus touchées par l’inflation. Jusqu’où évolueront les prix ? C’est aux spécialistes de la filière et aux pouvoirs publics de dire jusqu’où iront les prix ? Jusqu’à maintenant on ne voit pas le bout du tunnel dans la filière avicole. On pensait qu’après la première hausse des prix du kilogramme de poulet qu’il y allait avoir une régulation, laquelle n’a finalement pas eu lieu », a déclaré à TSA, le président de l’Association des consommateurs Apoce, Mustapha Zebdi. Le kilogramme de poulet a augmenté de 30% en l’espace d’un mois, entre août et septembre, atteignant le prix de 500 dinars, contre 350 DA quelques jours avant la flambée. Lire aussi Inflation la hausse des prix est-elle une fatalité pour l’Algérie ? Jusqu’à hier dimanche 31 octobre, le kilo de poulet était à 510 DA. Selon les éleveurs, la hausse des prix du poulet est due à l’augmentation des prix du poussin et des aliments de volaille. Le prix du poussin a atteint 200 DA voire 230 DA, selon le président de l’Apoce. Un prix exorbitant qui n’arrange pas les éleveurs. Au point que certains ont abandonné l’activité avicole. Malgré des propositions formulées par l’Apoce, il n’y a aucune réponse », a déploré Mustapha Zebdi qui avance quelques pistes pour résorber cette crise. Nous avons applaudi le plafonnement du prix du poussin à 120 DA, nous avons néanmoins préconisé que la vente ne soit pas faite par des opérateurs privés. Ils auront toujours les moyens de rehausser le prix tout en facturant à 120 DA. C’est ce qui a d’ailleurs eu lieu», a affirmé M. Zebdi. L’Apoce a également demandé de recourir en urgence » à l’importation d’œufs fécondés, chose qui n’a pas eu lieu jusqu’à ce jour», a poursuivi Zebdi qui déplore que certains opérateurs privés aient connu des contraintes dans cette démarche ». On ne comprend plus ce qui se passe » Jusqu’à ce jour ces contraintes n’ont pas encore été levées », a ajouté le président de l’Apoce. Pour espérer revenir à une situation normale, nous sommes malheureusement dans l’obligation d’importer des poussins et de veiller à avoir un nombre suffisant de poules mères », a exhorté M. Zebdi. Les acteurs de la filière avicole et particulièrement le comité interprofessionnel sont censés fournir un état des lieux juste et clair avec des solutions aux pouvoirs publics. Ils ont un rôle important à jouer. Le fait qu’ils ne réagissent pas en temps opportun ne fera que compliquer la situation », estime Mustapha Zebdi. La filière fruits et légumes est également sous les feux des critiques de l’Apoce. Les prix n’ont pas baissé malgré les dernières annonces des pouvoirs publics relatives à des sanctions exemplaires 30 années de prison à l’encontre des spéculateurs. En toute sincérité en tant qu’association nous avons le ras le bol de toujours suivre ce dossier et de faire des propositions. Il ne faut pas laisser les choses empirer jusqu’à ce que la situation échappe au contrôle », s’offusque Zebdi. Le cas de la pomme de terre suscite l’incompréhension du président de l’Apoce. Malgré les déstockages il y a quand même une hausse des prix. Cela ne répond à aucune logique économique», s’insurge notre interlocuteur. Le gouvernement a annoncé un prix réglementé de 50 DA le kilo de pomme de terre saisie. Sur les marchés, le kilo de ce tubercule est cédé à 120 DA, voire plus. On ne comprend plus ce qui se passe. Il n’y a aucun état des lieux précis sur la situation. Ou bien les informations qui sont fournies sont fausses où il y a d’autres paramètres imperceptibles pour nous et contribuant à l’instabilité du marché », conclut Zebdi. Les derniers articles
Les prix des produits alimentaires ne cessent d’augmenter en Algérie. A quelques semaines du mois de Ramadan et après l’augmentation du prix des fruits et légumes et du poulet, c’est au tour des prix de la viande rouge de s’enflammer. En effet, au cours de la semaine écoulée, le prix du kilogramme de viande bovine a augmenté de 400 DA tandis que celui de l’agneau a gagné 300 DA, a indiqué, lundi 31 janvier, l’Association de protection du consommateur Apoce. Lire aussi Pénuries et hausse des prix une problématique complexe Ce mardi 1er février, le prix affiché du kilogramme de mouton dans une boucherie de Chéraga dans l’ouest d’Alger est de 1600 DA. Pour ce qui est du prix du kilogramme de la viande bovine, il faut compter pas moins de 1900 DA pour la viande hachée, et 2200 DA pour un kilogramme d’entre-côtes. Une augmentation jugée inquiétante » par Mustapha Zebdi, président de l’association de protection du consommateur. Nous avons constaté une hausse du prix de la viande. C’est un constat qui est inquiétant », a-t-il dit dans une déclaration à TSA. Lire aussi Inflation, hausse des prix, dinar la Banque d’Algérie dévoile des chiffres alarmants Pour M. Zebdi, cette hausse des prix est d’autant plus inquiétante à l’approche du mois de Ramadan. Nous sommes à quelques semaines du mois de ramadan. La demande sur la viande rouge atteindra son maximum à cette période de l’année ». Une fois encore, les petites bourses seront mises à rudes épreuves », prévient-il. Les raisons d’une flambée Mohamed Taher Ramram, président de la Fédération nationale des producteurs de viande rouge, propos repris par la page de l’Apoce, affirme que cette augmentation se poursuivra les deux prochains mois ». Pour lui, elle est liée à la hausse des prix sur le marché de gros. Il affirme que le prix de gros du kilogramme de viande de mouton est passé de Da à Da tandis que celui de la viande de veau vendu auparavant à DA est cédé à DA. M. Ramram justifie cette hausse du prix sur le marché de gros, entre autres, par le coût élevé des prix du fourrage. Un aliment utilisé par les éleveurs qui a atteint les 7000 DA et qui n’est pas toujours disponible », selon lui. M. Zebdi estime qu’ »il faut vérifier si les arguments avancés sont fiables au bien s’il s’agit d’arguments utilisés uniquement pour justifier une hausse injustifiable ». Pour le président de l’Apoce, s’il y a des frais supplémentaires, il faudrait qu’ils soient proportionnels à la hausse des prix pour le consommateur final » Nous observons qu’il y a une disproportionnalité entre les coûts supplémentaires et le prix de vente chez le consommateur », a-t-il déploré. Comment freiner cette flambée? Va-t-elle se poursuivre? Nous avons appris qu’il y avait des autorisations d’importation de veaux pour abattage ou engraissement. Nous souhaitons qu’il y ait une régulation du marché de la viande pour, au moins, stabiliser cette hausse afin qu’elle n’atteigne pas des niveaux supérieurs. Nous souhaitons que les professionnels de la filière, les opérateurs économiques ainsi que les ministères de l’Agriculture et du Commerce interviennent et puissent répondre à cette défaillance », a lancé M. Zebdi. Les derniers articles
Flambée des prix des fruits et légumes de saison 0 Commentaires économie posted by 29 juin 2022 Depuis des mois, les citoyens algériens font face à une flambée des prix de tous les produits alimentaires. Par
prix des fruits et légumes en algérie